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2 avantages majeurs :
n Ueffet contraceptif
Seule barrière contre le HIV
C’est en effet le moyen de contraception le plus courant chez les jeunes : 87% l’ont utilisé lors de leur premier rapport sexuel.
Il empêche le passage des spermatozoïdes vers l’ovule et donc la fécondation.
Il en existe de multiples variétés et différentes tailles
On les trouve en pharmacie, dans des distributeurs ou en grandes surfaces.
Certains sont allergiques au latex mais heureusement il existe des préservatifs en polyuréthane qui ne provoquent pas de réaction.
On peut se le fournir sans ordonnance et à bas prix.
Mais l’assurance maladie ne les rembourse pas.
Enfin le préservatif masculin et le préservatif féminin représentent la seule méthode contraceptive qui protège des infections sexuellement transmissibles et du HIV.
Docteur Dominique DENJEAN
Quand on est une femme libérée et encore célibataire, on a toujours le soucis des rencontres fortuites. J’ai été confrontée plusieurs fois avec des hommes que j’ai moi même sollicités tellement ils étaient beaux avec des pectoraux comme je les aime. Hors, avec ces bombes sexuelles, je me méfie de leur refus du préservatif. Moi je propose toujours mon préservatif féminin car je suis toujours prudente. Ma proposition est toujours un étonnement pour mon partenaire mais dans la majorité des cas il se soumet. Que me conseillez vous comme approche ? Il est vrai que je ne suis pas facile mais j’aime bien savoir gérer mes rencontres avec toute la sûreté médicale.
Femme de 30 ans, j’utilise le préservatif en polyuréthane car j’étais allergique au latex.
Je me fiche de la non prise en compte de la sécurité sociale pour prendre mon plaisir.
Mon seul soucis est le HIV, pas les hypothétiques prises en charge de l’assurance maladie.
C’est ce que j’explique à toutes mes copines célibataires.
Merci pour votre message de sensibilisation hyper important.
Moi je suis le parfait exemple de la malade HIV qui a été trompée par un séropositif qui a eu la lâcheté de me transmettre sa séropositivité et m’a gâché durablement ma vie de femme.
C’est pourquoi j’ai créé une association qui informe comme vous le faites avec votre blog.
Le nombre de témoignages de lâchetés masculines est effrayant en Seine Saint Denis.
Mais pourquoi notre génération est MST ?
Que voulez vous dire?
La lâcheté existe partout…
Je ne peux vous donner aucun conseil c’est trop personnel
Que notre jeunesse est bien peu à l’écoute des maladies sexuellement transmissibles.
Il y a encore beaucoup trop de jeunes qui transmettent sans se faire dépister.
C’est même quelquefois volontaire et criminel.
Bonjour,
Malheureusement il n’y a pas que les jeunes qui transmettent
Cordialement
Docteur Denjean
Où se procurer un préservatif le plus rapidement possible ? Une application développée par l’association HF prévention, baptisée TUP (Trouver Un Préservatif) répond à cette question. Il s’agit d’un logiciel de géolocalisation qui permet de déterminer en quelques clics l’endroit le plus proche du lieu où l’on se trouve où l’on pourra se procurer des préservatifs (qu’il s’agisse d’une pharmacie, d’une grande surface ou d’un distributeur). Un bon coup marketing pour rappeler l’importance de «sortir couvert».
Tout pour faciliter l’approvisionnement de dernière minute.
Des collégiens anglais ont mis au point un préservatif qui change de couleur lors du contact avec des infections sexuellement transmissibles. Leur invention n’est qu’un prototype aujourd’hui. En attendant que l’industrie des produits contraceptifs s’empare du concept ?
Jaune pour l’herpès. Violet pour le papillomavirus. Vert pour la chlamydia. Ou encore bleu pour la syphilis. Non, ce n’est pas un jeu pour enfant. C’est même une affaire très sérieuse. « S.T.EYE » est un préservatif intelligent en latex capable de changer de couleur quand il détecte une infection sexuellement transmissible (IST), apprend-t-on sur le site de « The Independent ». Au contact de la bactérie, des molécules présentes dans le latex s’activent et donnent une teinte fluorescente au préservatif. À l’origine de cette invention, trois collégiens anglais de l’Essex.
Les créateurs de « S.T.EYE », Muaz Nawaz, 13 ans, Daanyaal Ali, 14 ans, et Chirag Shah, 14 ans, ont déclaré qu’ils dédiaient leur invention à la nouvelle génération afin de rendre les jeunes plus responsables, ont expliqué les trois collégiens : « Nous voulions inventer quelque chose qui permet de détecter facilement les IST, afin que les gens puissent se tester tranquillement à la maison, sans avoir à aller chez le Docteur ».
En France comme en Europe, le nombre d’IST diagnostiquées ne cesse d’augmenter, indique l’Institut de Veille Sanitaire (INVS).